Mon séjour chez les Wahgoshigs m’a confirmé qu’il est possible pour les Premières Nations de s’en sortir. C’est un travail de longue haleine et nous y serons tous gagnants. Nous avons beaucoup à apprendre d’eux. Mais, eux aussi ont du travail à faire. La réconciliation n’est pas une rue à sens unique.
Oui, beaucoup de dommages furent faits et on ne peut pas retourner au temps des cueilleurs-chasseurs. Nous devons reconnaître que nous sommes sur leur territoire, et eux doivent s’ouvrir et nous permettre de mieux les connaître. Cette émancipation est nécessaire.
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